Retour en images sur les rencontres internationales francophones – Transition Energétique et Sociétale

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 10 juin 2018

J’ai eu la chance de participer aux premières rencontres internationales francophones organisé par le programme TES (Transition Énergétique et Sociétale) qui se sont données pour objectifs de répondre à la question : « en quoi l’innovation sociale et les dynamiques collectives facilitent  l’émergence et le développement des projets de transition sur les territoires locaux ? »

Sur la base d’un recueil de contributions (accessible ICI), plus de 120 acteurs d’univers différents (chercheurs, associations, collectivités, entreprises…) ont contribué à la construction de réponses, sur la base des expériences acquises. Plus que les productions des différents ateliers, le chemin suivi pour réfléchir ensemble donne l’originalité de ce moment grave sur le fond et réjouissant sur la forme. Le Verbatim tant à la mode  « en même temps » a donc ici aussi trouvé sa place !

Pour en savoir plus sur le programme et les intervenants, c’est ICI.

Pour le compte-rendu des productions, c’est à suivre dans les semaines à venir.

De mon côté je vous propose « mon parcours » au travers de mes prises de notes dessinées ci-dessous. Tout a commencé par la conférence de Dominique Bourg (philosophe Suisse):

conf Dominique Bourg

Puis, la plénière d’ouverture :

ouverture

Des ateliers :

Atelier 1retour des ateliers j2

 

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La conférence du maire de Grande-Synthe, Damien Carême, dans le cadre de la soirée de clôture de la Promotion 2017/18 du Collège des Transitions Sociétales :

conf Careme

Et enfin la conclusion de l’évènement par la conférence de Jo Spiegel, maire de Kingersheim :

Conf Jo Spiegel

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Carbon’at fête ses 10 ans chez REMY-COINTREAU à ANGERS le 26 juin 2018

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 4 mai 2018

L’Association Carbon’at nous prépare un moment riche en contenu pour ses 10 ans !

Le nombre de place est limité et priorité est donnée aux adhérents. Pour s’inscrire, c’est ICI

Invitation anniversaire Carbon'at

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RUPTUR : un nouvel acteur pour promouvoir l’Economie Bleue

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 30 avril 2018

... et donc un second post pour parler d’une initiative locale (Vendée et Loire-Atlantique) que j’ai découvert cette semaine, à l’occasion d’une réunion de présentation à la CCI de Vendée : l’Association RUPTUR.

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Inspiré par Gunter Pauli (voir ci-dessous sa présentation), un groupe de chefs d’entreprise s’est regroupé  autour de l’objectif de « réinventer notre façon d’entreprendre, de se développer ou de se diversifier [...] notre mouvement vise à montrer que l’on peut rejeter 0 déchet, ne pas polluer et être aussi rentable qu’une entreprise lambda. S’inspirer par la nature, remettre en question les règles des affaires et des marchés, penser local et territorial, donner aux jeunes générations les clés de penser autrement, voici tout l’enjeu de notre mouvement.« 

Je retiens de cette présentation un volontarisme qui fait du bien, une promotion salutaire de l’expérimentation (et donc du droit à l’erreur) et une envie de « faire »…

L’idée est que les solutions existent un peu partout et qu’elles sont autant d’opportunités à saisir pour concilier activité économique et prise en compte des enjeux environnementaux.

La perspective « Zéro pollution » est affichée en étendard, ce qui m’évoque la lecture du (très bon) livre de Yannick Roudaut (lien).

[Mon avis reste celui de l'humilité sur le thème du "Zéro...". La simplification des enjeux expose au risque de la communication abusive involontaire sur des projets forcement imparfaits. Il n'existe pas selon moi de solutions miracles qui gagnent sur tous les tableaux.]

Les projets de RUPTUR sont nombreux, ambitieux et déjà très avancés au regard de la jeunesse de l’Association (moins d’un an !) :

  • 8 chantiers sont déjà ouverts. L’association veut valider les modèles, aider le lancement de projets innovants pertinents
  • le 17 mai : une matinée de travail à Nantes chez Keran
  • 25 et 26 septembre : 2 journées bleues aux Sables d’Olonnes (avec la présence de Gunter Pauli)
  • au premier semestre 2019 : début des expéditions Jules Vernes pour découvrir physiquement les initiatives africaines, asiatiques…

Impressionnant !

Arrivons-en à l’inspirateur de l’initiative : Gunter Pauli. De qui s’agit-il ?

Wikipedia présente Gunter Pauli ainsi : « GP est un industriel belge né en 1956 à Anvers. Dans les années 1990, il reprend la société Ecover et la transforme en modèle d’économie verte. Quand il s’aperçoit que la base de son entreprise repose sur l’exploitation de l’huile de palme qui détruit les forêts ainsi que l’habitat des orang-outans, il la vend et se consacre à un modèle plus durable qu’il nomme l’économie bleue. Il créé alors la fondation ZERI (Recherche et Initiatives pour Zéro Pollution).

Membre du Club de Rome, il milite pour la diffusion de solutions véritablement durables à dimension sociale, notamment à travers des livres, des conférences et l’éducation des jeunes. »

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Il a été nommé le Steeve Jobs du Développement Durable par le Huffigton Post en 2016 (lien). Il revendique « 10 ans, 100 innovations, 100 millions d’emplois! » . L’article cite une phrase souvent prononcée par Idriss Aberkan, autre TEDx man réputé sur le sujet (lien) : « Comme toute révolution l’abolition de l’esclavage est effectivement passée par trois étapes dans l’esprit humain: on l’a considérée comme ridicule, puis comme dangereuse, puis comme évidente.« 

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Gunter Pauli parle aux entrepreneurs car il vise les opportunités économiques ouvertes par l’assimilation de nos contraintes sociétales. Je n’y vois aucun problème… tant que l’on garde une vision globale et argumentée sur les bénéfices – coûts des solutions développées et sur leur contribution aux enjeux prioritaires, histoire de travailler sur le « macro » et pas le « micro ».

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Lien vers vidéo sur une intervention APM en 2017

Je suis enthousiaste par la volonté affichée par ce groupe de dirigeants de mon territoire.

Il me semble pertinent de faire lien avec les autres initiatives du territoire : associatives sur le champ éducatif (lien), universitaire sur la compréhension des comportements (lien), associative (lien)…

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DCE : un outil au service des établissements scolaires pour rendre la Transition Energétique concrète

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 29 avril 2018

Il se passe des choses sur nos territoires et ce serait dommage de ne pas les valoriser. Si des médias nouveaux comme DEMAIN VENDEE s’attèlent (fort bien d’ailleurs) à cette tâche, je prends la plume numérique pour mettre en valeur, sur deux posts distincts, deux initiatives de mon territoire qui méritent une attention (voir plus si affinité).

Ce premier post est consacré à une opération nommée DÉFI CLASS’ÉNERGIE,logo_e3 mis en œuvre par l’association ELISE au sein de laquelle je suis bénévole. Je suis donc d’une certaine manière « intéressé » à la réussite de cette initiative mais je me sens surtout suffisamment informé pour revendiquer sa pertinence. De quoi s’agit-il ?

Pour ceux qui connaissent, c’est une opération inspirée du DÉFI DES FAMILLES A ÉNERGIE POSITIVES (lien post précédent).

Sur une période donnée (ici l’année scolaire), un établissement engage, en cohérence avec le projet pédagogique de l’année, une campagne de suivi des consommations énergétiques de ses infrastructures et met en œuvre un plan d’actions d’économie d’énergie. L’idée est d’utiliser les bâtiments comme support pédagogique.

Pour conduire le projet, l’établissement est accompagné par des techniciens / animateurs de l’Association ELISE (en Vendée, mais le dispositif existe partout en France) qui vont faire une première visite technique, animer des actions avec le corps enseignants en utilisant les outils d’éducation à l’énergie pertinents (balades thermographiques, affichages…) et aider en cours d’année à suivre les évolutions des consommation (saisies, analyses…).

L’objectif est de baisser globalement de 8% la consommation d’énergie des bâtiments. Si ça marche, les charges de l’établissement vont donc baisser sur la période.

Sur l’année scolaire 2017-2018, l‘école du Donjon à Sigournais (85) a engagé un projet DCE. C’est le premier établissement vendéen à avoir testé le dispositif ! Ci-dessous le reportage de DEMAIN VENDEE sur cette opération (lien) et une communication sur le sujet ICI.

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Au delà des actions menées avec et par les élèves tout au long de cette année scolaire : balade thermographique, journée sans cartable, livre d’or, classe « empreinte écologique », classe « électricité »…

Au delà des messages passés à ce jeune public pour sensibiliser et permettre les transitions dans les années à venir…

Au delà des économies réalisées par l’école, qui dépassent largement les 8% visés sur les 3 paramètres : consommation d’eau, consommation d’électricité, consommation de fuel…

Au delà de tout ça donc, je retiens les partenariats qui ont permis la réalisation de ce projet.

Une Association comme ELISE n’a pas de financement public pour mettre en œuvre ce type d’actions. Elle doit donc financer ces 6 à 10 moments d’intervention au sein de l’établissement scolaire par une facture. Les écoles n’ont pas toutes les moyens d’investir sur ce type de projet. C’est là que des partenaires externes peuvent intervenir dans le dispositif. Dans le cas de Sigournais, trois structures ont participé au financement de l’opération : le SyDEV (Syndicat Départemental d’Energie et d’Equipement de la Vendée), Garczyinsky Traploir Vendée (entreprise locale) et le Crédit Agricole. Grâce à leur participation, le projet a pu voir le jour, qu’ils en soient ici remerciés !

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 La Transition Énergétique implique aussi des transitions dans les modèles de financement des missions d’intérêt collectif.

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Le Compte-rendu de la dernière rencontre Carbon’at chez Yves Rocher est en ligne

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 25 octobre 2017

Le 20 octobre dernier, une dizaine d’adhérents/es et sympathisants/es se sont retrouvé sur le site Yves Rocher de la Gacilly pour échanger autour de la coopération entreprise / association.

Une bien belle journée dans un superbe cadre.

C’est ici : LIEN

 

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Petite réflexion sur une mobilisation « anti » projet éolien en Vendée

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 15 octobre 2017

Samedi dernier (7/10/17) à Chantonnay (Vendée), j’ai été le témoin direct d’une opposition frontale – et non violente,  précisons le – entre une collectivité qui s’engage dans un projet de transition énergétique sur son territoire et une association de riverains opposants à une partie du plan (le volet éolien bien-sur).

Le projet de la collectivité contient deux composantes majeures : une unité de biométhanisation (qui entrera en fonctionnement en 2018) et un projet de parc éolien (projetCaptureé aux alentours de 2020). Pierre Radanne, invité d’honneur de ce qui aurait du être une belle « Fête de l’énergie », y a reconnu un projet très pertinent de par le couplage d’une production d’énergie électrique intermittente renouvelable  (éolien) et l’injection dans le réseau de gaz d’origine non fossile. Le maire de la commune de Saint-Georges-sur-Arnon a quant à lui partager son expérience réussie d’investissement dans le renouvelable.

Dans le monde de Oui-Oui tout irait pour le mieux et on applaudirait des deux mains. Mais voilà…

…Voilà que la pertinence n’est pas partagée par les militants de l’association « Vent de colère » qui ont décidé de perturber cet évènement pour se faire entendre et le faire passer de festif à conflictuel. Dommage pour l’ambiance et la fréquentation, mais finalement pas pour l’échange car ces derniers ont eu un temps de parole en plénière pour exprimer leur position. Les choses complexes méritant mieux qu’un discours descendant et directif, je ne vois pas cette forme de « dialogue » d’un mauvais œil, bien que franchement les « Ouhhhhhh » peuvent globalement apparaitre d’une affligeante puérilité (je pense que mes enfants peuvent se tenir mieux en public).

Forme mise de côté donc, il me semble qu’il convient d’écouter les arguments, faire le tri et penser (panser) les maux. Cette « analyse » ne concerne que moi bien entendu et je ne représente personne.

La présidente de l’Association, lors de sa prise de parole, ne remettait pas en cause la pertinence d’une planification de la transition énergétique mais plutôt le dispositif choisi : l’électricité d’origine éolienne. Dans la salle, sa posture ne semblait pas partagée par mon voisin de derrière, clairement bloqué sur un raisonnement technophile pro-nucléaire, ITER, etc… L’expertise de Pierre Radanne sur les délais inadaptés, les coûts exorbitants et les risques exagérés n’a pas su convaincre cette personne. Le débat s’arrête quand les argumentations se font au nom de la croyance et non du savoir. Il ne me semble pas que les opposants soient cependant tous dans une logique conservatrice et centralisatrice de la production d’électricité type « EDF des années 50-60-70″.

Parmi les autres arguments énoncés, certains me sont apparus spécieux (béton dans le sol…) ou partiels (sans être faux) : intermittence….échec de l’Energiewende (lien pour nuancer)… Dans un monde complexe, je reconnais sans soucis qu’aucun moyen  de production d’électricité (y compris l’éolien) ne présente aucun défaut. Il n’est pas question de trouver une solution parfaite (qui n’existe pas) mais de concilier tous les enjeux pour choisir la solution la plus acceptable pour les décennies à venir.

Je n’ai entendu aucune proposition de limitation de la consommation d’électricité. La sobriété ne fait pas partie des hypothèses acceptables.

Ce qui me semble être LA vraie raison de ce « vent de colère » de la dizaine de riverains présents est celle du partage de la valeur entre les investisseurs et ceux qui vont « subir » le plus directement la présence des générateurs électriques à 500 ou 600 mètres devant leurs fenêtres. Car, il ne faut pas nier qu’un élément nouveau s’imposera dans le paysage, que des nuisances inexistantes aujourd’hui pourront perturber la qualité de vie perçue par les habitants concernés et ne l’oublions pas, que la crainte de perte de valeur foncière peut être vécue comme une profonde injustice. Un projet exogène sur lequel je ne récolterais que les passifs et pas les actifs ne me satisferait peut-être pas, malgré « mon engagement » personnel sur ces sujets.

Pour dépasser le simplisme du raisonnement « NIMBY » (Not In My Backyard) qui laisse penser à un égoïsme-individualisme pur jus, il faut se poser, de mon point de vue, la question du partage de la valeur produite. Contrairement à une approche capitaliste « pure », ce type de projet aurait intérêt à proposer des modèles de partage de la valeur avec les investisseurs ET les riverains. Plus facile à dire qu’à faire bien sur. Des pistes existent avec le financement participatif qui je l’espère trouvera une place dans le projet de Chantonnay (lien). Est-il possible d’aller plus loin que d’offrir la possibilité de l’investissement (et donc du retour sur investissement) ? Pourquoi ne serait-il pas envisageable de reconnaitre la nuisance par une rémunération directe / indirecte ? Si cette « rémunération » de la nuisance peut paraitre dérangeante, demandez-vous comment les centrales thermiques ou nucléaires ont procédé ces dernières décennies avec les communes d’accueil. Pour moi, ce serait une reconnaissance, pas l’achat du silence.

La recherche de l’intérêt individuel et de l’intérêt collectif doivent-ils systématiquement être opposés ?

Au delà de ma proposition, il est claire que la sociologique (lien) a autant apporter aux réussites des projets de ce type que la technologie et la technique de l’environnement qui nous emprisonne trop souvent.

Une dernière chose, pour être transparent : je suis clairement favorable à décentralisation de la production d’électricité, à l’investissement dans l’énergie renouvelable (de préférence par le citoyen et pas que par le privé) et à une approche raisonnée de la réponse technologique au même titre que le travail sur les usages. Je pense que l’intégration du triptyque Sobriété-Efficacité-Renouvelable promu par l’Association Négawatt (Lien) est la réponse acceptable pour notre avenir.

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Agenda : Carbon’at propose un évènement exceptionnel chez Yves Rocher

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 22 septembre 2017

Invitation Carbonat

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Agenda : l’Association ELISE fête ses 20 ans le 8 novembre !

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 22 septembre 2017

Invitation 20ans ELISE

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Numérique et robotique : la fin de l’emploi, le retour du travail ? (préparation de la soirée de cloture du CTS)

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 7 juin 2017

Les auditeurs 2016-17 du Collège des Transitions Sociétales présentent leur soirée de clôture demain à Nantes (lien).

En préparation, un deux pages très bien construit sur le sujet de la « fin de l’emploi, le début du travail » a été mis en ligne. A lire

fichier pdf CTS2017 v72

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CoWatt : le cotoiturage solaire

Posté par Jean-Luc DOTHEE le 5 mars 2017

Je faisais référence, à la fin de ma dernière chronique pour l’Ecolobuissonière (lien), à l’initiative locale CoWatt. 16649377_580072532183516_2273845702526726158_n

Ce post décrit le projet… et mieux, vous propose d’y participer et/ou de contribuer au financement de son lancement ! Pour en savoir un peu plus, cliquez ICI.

CoWatt est une coopérative dont l’objectif est d’accélérer la transition énergétique en multipliant les installations de panneaux solaires sur les toits des particuliers. CoWatt veut  :

  • associer des citoyens qui souhaitent investir et soutenir des projets d’énergie solaire en valorisant des toitures bien exposées dans la région Pays de la Loire.
  • prendre en charge les démarches administratives, techniques et juridiques nécessaires à la mise en place de telles installations.
  • mobiliser les citoyens et animer la dynamique collective autour du développement des énergies renouvelables.

Une démarche groupée est d’autant plus pertinente qu’en mutualisant les projets, les risques sont aussi partagés.

L’idée est que la production d’électricité, sur 20 ans, permette de dégager suffisamment de bénéfices pour financer les emprunts, rémunérer les investisseurs, financer les fonctionnement et investir dans des actions en faveurs de la transition énergétique sur les territoires où les centrales sont installées.

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Depuis un an, une quinzaine de bénévoles, appuyés par les associations Alisée et Elise, œuvrent à la création de CoWatt. Afin de lancer la structure définitive fin mai, il reste à mettre en place les statuts, mais aussi :
– le site internet
– les autres supports et moyens de communication (flyers, affiches, newsletters, photos & vidéos, événements..)

Pour cela 20.000€ sont nécessaires. CoWatt va donc faire un appel aux dons via la plateforme de crowdfounding « ZESTE » dès le 9 mars (LIEN).

Cette campagne fait également suite à la présence de CoWatt au grand débat de la transition énergétique porté par Nantes Métropole.

Le projet est à suivre sur Facebook !

CoWatt : la transition à portée de main

 

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