Retour d’expérience pour un Système de Management Intégré efficace
Posté par Jean-Luc DOTHEE le 7 octobre 2011
Aujourd’hui s’est tenue, dans les locaux de Qualeader une matinale sur le sujet « Retour d’expérience sur l’efficacité des approches processus ». support de la matinale en lien.
Ma modeste contribution à cette matinale consistait à réaliser un rapide retour d’expérience sur l’intégration des Systèmes de Management. Je me permets donc « d’allonger la sauce » par une réflexion sur le sujet en 3 points :
Réflexion n°1 – Mon expérience personnelle m’amène au constat suivant : l’histoire de management en entreprise commence le plus souvent par la mise en place d’une démarche ISO 9001 (sauf cas particulier comme notamment l’éco-industrie plus enclin à s’engager vers ISO 14001 directement). Bien souvent un référentiel supplémentaire vient compléter l’approche « client/produit-service ». Se pose alors la question de « l’intégration » des Systèmes dans un souci initial d’optimisation des ressources. Très personnellement, je pense que l’intégration « par » la cartographie des processus ne doit pas être trop énergivore. Il faut (selon moi toujours) bénéficier des processus pour partager les enjeux (mettre du « SE » dans les processus Support) mais ne pas « se faire violence » pour tout faire rentrer dans les « cases » existantes l’intégralité des enjeux sécurité et/ou environnement…
Réflexion n°2 - Je me suis rendu compte que l’arrivée d’un nouveau référentiel, peut aussi être un moment privilégié pour redynamiser le système en place. Comme tout le monde le sait, la mise en place initiale n’est pas grand-chose par rapport à l’énergie à libérer pour faire vivre une organisation dans la durée. Plus l’intégration sera poussée, plus le dépoussiérage de l’existant profitera du nouveau projet.
Réflexion n°3 - Le véritable enjeu d’une intégration des exigences externes dans un SMI ne se résume pas en l’existence de documents « QSE » mais se trouve plutôt dans ce que la norme ISO 26000 nomme une approche « holistique ». En effet, en partageant à tous les niveaux de l’organisation les thématiques en question (Q S ? Q E ? QSE ? …), on a plus de chance de ne pas pénaliser « une » performance au service d’une autre au grès des priorités du moment. La performance devient alors « plus » Globale… sans pour autant répondre à la vision « écran large » préconisée par ISO 26000. C’est un bon début dirons nous…
En ce qui concerne le « comment faire ? », appelez Qualeader !
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